Certaines personnes servent le plus souvent de modèle à la société du fait de leur parcours professionnel. Elles sont source d’inspiration pour beaucoup qui veulent être à tout prix à leur image. Caroline de Monaco en est l’illustration parfaite. Elle est considérée comme une idole par la jeune génération qui ne cesse de porter un intérêt très singulier à sa biographie et à son actualité. Fort de cela, le présent article consacre une analyse sur la vie et l’actualité relatives à la dame de Monaco.
Table des matières
Le cercle familial
Caroline Louise Marguerite GRIMALDI à l’état civil a poussé ses premiers cris le 23 janvier 1957 à Monaco, une ville de la France. Elle est l’héritière d’une actrice américano-monégasque et d’un ancien prince souverain. Elle appartient à un cercle familial de trois enfants dont deux frères. Sa venue au monde était un moment fort mythique. Les 21 coups de canon qui avaient retenti témoignent de la grandeur spirituelle qui caractérise la native de Monaco. Elle a maintenu cette ligne directive même après la mort de ses parents. Ceux-ci lui ont laissé un héritage ancestral qu’elle a su garder et entretenu avec grand soin et une volonté qui inspire plus d’un.
Le parcours scolaire et académique
Caroline de MONACO a fait ses études de bases au pensionnat de jeunes filles Saint Maryse School. C’est une école basée en Angleterre. En 1974, l’héritière obtient son Baccalauréat qui fait suite à son ardeur et à son amour pour le travail méthodique de par lequel elle se démarque des autres. Ce parchemin lui a permis de s’ouvrir sans difficulté aucune, la porte des universités. Elle s’inscrit alors à l’Université de Sorbonne. Elle se spécialise en philosophie. Après ces 3 ans d’études acharnées, elle décroche une Licence Professionnelle. Ce qui lui a valu son intégration à l’Institut d’Études Politiques de Paris. Ce fut une véritable opportunité de révéler son intelligence à la face du monde.
Les expériences professionnelles
Le carnet d’adresses de la maman âgée de plus de la soixantaine force l’admiration. Il confirme le mérite de toutes les fleurs qu’on lui lance au quotidien. À la suite de ses traces indélébiles à l’Institut d’Etudes Politiques de Paris, elle s’est sacrifiée en septembre 1982 à perdurer les actions philanthropiques et culturelles de sa défunte mère. Plus tard, son expertise a été sollicitée pour le management de la présidence du Garden Club de Monaco. Ensuite, elle cumule plusieurs postes de responsabilité en l’occurrence le poste de la présidente du Comité d’Organisation du Festival des Arts de Monte-Carlo et le poste de présidente de la Fondation Grâce.
En 1985, elle crée la Compagnie des Ballets de Monte-Carlo en hommage à sa mère décédée dans un accident de voiture 3 ans plus tôt. En 1993, elle est portée à la tête de l’Association Mondiale des Amis de l’Enfance. Cette association avait vu le jour sous la houlette de sa maman de son vivant. Sur le plan de l’engagement, Caroline de Monaco n’a pas manqué de faire parler d’elle. Son militantisme pour la cause des enfants continue de faire école. En témoigne la reconnaissance de l’UNESCO qui l’a élevée au grade d’Ambassadrice de bonne volonté en 2003.
La situation matrimoniale
La situation matrimoniale de Caroline de Monaco a connu fortune diverse au gré des déceptions amoureuses et des décès. Le début de son premier échec en amour remonte en 1978 où elle tomba sous le charme de Phillip Junot. Ce fut un mariage passager qui s’est soldé par le prononcé de sa nullité par le Pape Jean-Paul II. C’était le dénouement d’une longue procédure de divorce à la demande de la princesse. L’amour frappa de nouveau à la porte de l’héritière de l’ex souverain de Monaco. Mais cette fois-ci en 1983. L’homme d’affaires italien Stefano Casiraghi convola en justes noces avec Carolina le 29 décembre 1983. André, Charlotte et Pierre symbolisent le fruit de leur mariage civil. Malheureusement, ce mariage a connu une fin funèbre. Un accident de offshore au large de Saint-Jean-Cap- Ferrat emporta l’homme d’affaire le 3 octobre 1990. Ce coup de massue n’a pourtant rien soustrait de la détermination de Caroline à la recherche effrénée de stabilité amoureuse. Cette détermination, dont elle est la seule à en avoir le secret, a fini par porter ses fruits. La troisième et dernière tentative de noces aura été la bonne. Puisqu’elle rencontra sur son chemin le Prince Ernst August de Hanovre. La naissance de la petite Alexandra sécha les larmes de la princesse.
Les distinctions honorifiques
Elles se résument aux diverses décorations et aux honneurs royaux.
Les décorations
Le Grand-croix de l’Ordre de Saint Charles est la première des décorations dont est gratifiée Caroline. Cette décoration est la plus élevée dans la hiérarchie des distinctions monégasques. Elle est même supérieure à l’Ordre de Grimaldi. La deuxième décoration est celle du Commandeur de l’Ordre du Mérite Culturel. Caroline l’a reçue en 2005. Par ce geste, la Principauté de Monaco a exprimé tout son satisfecit à l’endroit de la maman de 65 ans. Le Ministre de la Culture française d’alors n’a pas lui aussi manqué de saluer la bravoure d’une dame exceptionnelle. Il lui a remis à juste titre les insignes de Commandeur des Arts et des Lettres le 21 janvier 2016.
Les honneurs royaux
Caroline de Monaco est une princesse. Elle a à plusieurs reprises tenu le trône. A titre illustratif, elle a été l’héritière présomptive du trône de Monaco. Elle avait eu le privilège de goûter aux délices du trône à 2 reprises. D’abord, le 6 avril 2005 avant de rendre le tablier royal le 10 décembre 2014. Son règne a duré 9 ans, 8 mois et 4 jours. Ensuite, elle revient à la charge le 23 janvier 1957. Son séjour, cette fois-ci, a été de courte durée. Le successeur d’Albert marquis des Baux n’a eu à faire qu’un an, 1 mois et 19 jours au total. À l’issue de son double règne, elle reçoit les honneurs dus à son rang.
La fausse rumeur
Dans un tweet en date du mardi 15 mars 2022 vers 14h, il a été ventilé sur le réseau à l’oiseau bleu que Caroline de Monaco aurait trépassé. La polémique a suscité une vague d’émoi sans précédent. Peu de temps après, on apprend que l’entourage immédiat de la sexagénaire aurait apporté un démenti formel. La confusion s’installe dans la tête des fanatiques de la princesse de Monaco. Ceux-ci n’arrivent plus à se situer. Ils ne réclament qu’une seule et unique chose : la vérité, rien que la vérité. En attendant, le sujet occupe la une de toutes les conversations. Caroline morte ou vivante ? Le suspens reste entier.